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Les Koronin : le Blog !

Les actualités hebdomadaires des Koronin (Philippe Morin / Artemis Irenäus von Baste), culture des arts plastiques & galerie d'Art associative en Ligne.

prépa Koronin : avis de communication de l'ensba

L’école nationale supérieure des beaux arts de Paris – ensba -  porte à ma connaissance le calendrier culturel suivant. Je vous le transmets tel que reçu. Je rappelle aux  jeunes préparant le concours d’entrée de l’ensba (qu’ils soient en prépa ou non)  l’évidence de se tenir fermement informés de la nature des programmes culturels de l’école dont ils souhaitent intégrer le cursus.

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Programme culturel octobre 2011 - février 2012

 


Expositions

Galeries d’exposition du quai Malaquais

2001-2011 : soudain déjà

Photographies, sculptures, installations, vidéos, peintures, de 30 jeunes artistes diplômés des Beaux-arts entre 2001 et 2011 confrontés à l’actualité mondiale de ces dix dernières années. Commissariat : Guillaume Désanges.

Exposition du vendredi 21 octobre 2011 au dimanche 8 janvier 2012, du mardi au dimanche, de 13 h à 19 h.

Cabinet des dessins Jean Bonna, Palais des études

À la source de l’antique, la collection de Sergei Tchoban

Présentation de la collection de dessins d’architecture néo-classique du collectionneur Sergei Tchoban.

Exposition du mardi 27 octobre 2011 au vendredi 21 janvier 2012, du lundi au vendredi, de 13 h à 18 h.


La Seine

Jeudi 27 octobre à 18h / À l’occasion de son exposition 21 août 1899, la nuit après la première rencontre entre August Strindberg et Edvard Munch dans l’atelier du programme de recherche La Seine du 20 au 30 octobre, Florian Fouché s’entretient avec un invité et présente son travail.


Nouveau professeur

Lundi 10 octobre à 15 h / Pascale Accoyer enseigne les techniques de la peinture. Elle est conservateur-restaurateur d’œuvres peintes. Elle entend enseigner que : « la compréhension de la peinture ne se limite pas à la technique, elle convoque histoire, matière, chimie, inventivité, empirisme et exactitude. Un ensemble de cohérences et de contradictions dont les dosages appartiennent à chacun. »


2001-2011 : soudain déjà

Jeudi 24 novembre à 18h / Guillaume Désanges, commissaire de l’exposition 2001-2011 : soudain déjà explique sa démarche en proposant une réflexion spéculative et originale orientée sur la thématique principale de l’exposition : l’art et l’actualité.


Artistes/rencontres/entretiens

Vendredi 7 octobre à 15h / Mrdjan Bajic
L’histoire de son pays la Serbie, les souvenirs personnels sont au cœur de sa recherche, traduite par des dessins, sculptures et photographies. Il a créé le Yugomusej, une sorte de musée virtuel sur l’histoire de la Yougoslavie.

Vendredi 14 octobre à 15h / Natacha Nisic
Photographies, installations filmiques, sonores, son travail se situe à la frontière des différents supports de l’image en mouvement. Il est concentré sur des moments sombres de l’histoire (Hiroshima, Sarajevo, Auschwitz), en évitant toujours l’obscène par une stragégie de l’après-coup. 

Mardi 18 octobre à 17h / John Wood and Paul Harrison, à l’occasion de leur exposition à la galerie Martine Aboucaya. Ils constituent depuis 1993 un duo dont les performances filmées sont empreintes d’un humour très british. Entre tragique et comique, poétique et burlesque, ils comptent aujourd’hui parmi les artistes les plus représentatifs de l’art vidéo britannique.  

Mercredi 19 octobre à 11h / Masaki Fujihata s’interroge sur les possibilités de saisir les données tridimensionnelles et élabore un système électronique complexe, ultra-léger, qui l’accompagne dans ses voyages à travers le monde et lui permet de capter de manière étonnante les paysages qu’il parcourt.

Vendredi 28 octobre à 15h / Martin Le Chevallier développe depuis la fin des années 1990 un travail qui porte un regard critique sur les idéologies et les mythes contemporains. Les représentations qu’il propose de notre époque sont souvent constituées des outils et des processus qui la caractérisent.

Vendredi 18 novembre à 15h / Éric Baudelaire
Dans son travail, il démonte les codes de l’image de guerre, de la peinture au photojournalisme. Projection du film L’Anabase de May et Fusako Shigenobu, Masao Adachi et 27 années sans images, 2011, 66’. May, la fille d’une terroriste japonaise et Adachi, un cinéaste activiste, racontent la période de leur long exil au Liban. Il s’agit d’une méditation sur les rapports entre existence, politique et cinéma.

Vendredi 25 novembre à 15h / Thomas Hirschhorn se concentre sur la création de sculptures, d’installations précaires. Il développe un projet profondément engagé dans des préoccupations sociales et politiques, traversé par les questions, les contradictions qui taraudent la société contemporaine marquée par la mondialisation.

Vendredi 2 décembre à 15h / Dora Garcia
Son travail consiste à mettre en place des situations qui modifient les relations traditionnelles entre l’artiste, l’œuvre et le spectateur. Elle utilise pour cela vidéo, écriture, performance et se situe comme un metteur en scène.

Vendredi 9 décembre à 17h / Michel Verjux travaille depuis plus de vingt ans sur l’événement, l’acte, l’objet, le dispositif et le signe d’exposition. Ses œuvres ne sont ni de la sculpture, ni de la peinture, mais de l’éclairage, constituées de l’élément nécessaire à la perception visuelle : la lumière. Il intervient à l’occasion de la publication de ses écrits par les éditions des Beaux-arts de Paris.


Des pratiques autres

Mercredi 2 novembre à 15h, amphi de morphologie / Fanny de Chaillé, chorégraphe, interprète, elle a collaboré avec Emmanuelle Huynh, Alain Buffard… Pour Passage à l’acte, performance réalisée avec Philippe Ramette, artiste, ils mettent en commun un intérêt certain pour l’absurde. Ils mettront à jour ce qui dans leur pratique est occulté : pour elle, utiliser des objets contraignants ; pour lui, participer à la mise en scène de ses sculptures ; en collaboration avec le Théâtre de la Cité internationale.

Mercredi 30 novembre à 15h / Raimund Hoghe
Entre introspection et vertige historique, l’œuvre de Raimund Hoghe poursuit une entreprise de relecture contemplative du patrimoine chorégraphique, Boléro Variations, l’Après-midi… À l’occasion de la création de Pas de deux, en collaboration avec le Théâtre de la Cité internationale.

Mercredi 29 février à 15h / Myriam Gourfink
Comme les musiciens, elle utilise une écriture symbolique pour composer l’univers géométrique et l’évolution poétique de la danse. L’idée est de rechercher la nécessité intérieure qui mène au mouvement.


Filmer les artistes

Mardi 4 octobre à 17h / Projection de Yankel ! L’Afrique à l’atelier, 2010, 60’, et rencontre avec le réalisateur Idriss Diabaté et l’artiste Yankel sur une proposition de l’atelier de lithographie. Le réalisateur Ivoirien Idriss Diabaté nous fait revivre l’ambiance qui règnait dans un atelier de l’École des Beaux-Arts de Paris : celui de Jacques Kikoïne Yankel. Le cinéaste fait parler les anciens élèves africains, qui depuis leur pays, dans leur atelier, racontent leur expérience et l’influence de Yankel sur leur travail.

Mardi 13 décembre à 17h / Projection de Tans pis pour Dieu, 2010, 66’, et rencontre avec le réalisateur Cédric Harrang et Wernher Bouwens, artiste. Ayant suivi Wernher Bouwens pendant une année dans ses différentes activités, le film rend compte des multiples processus mis en œuvre dans le travail et notamment de l’évolution du projet d’installation monumentale Infrastructure, réalisé dans le cadre d’Art dans les chapelles, dans la chapelle Saint-Laurent à Silfiac.

Mercredi 14 décembre à 18h / Projection du film Jean-Olivier Hucleux, du travail à l’œuvre, 2010, 60’, rencontre avec le réalisateur Virgile Novarina et Jean-Olivier Hucleux. Acteur du mouvement hyperréaliste qui s’est développé en Europe et aux États-Unis à partir de 1969, Hucleux a tout d’abord réalisé des séries de cimetières et de casses de voitures hyperréalistes. À partir de 1974, il peint une importante série de portraits d’anonymes, d’écrivains et d’artistes grandeur nature. Parallèlement, il fait depuis 1980 des dessins de « déprogrammation » : il dessine intuitivement, tente d’accéder à une mémoire oubliée, enfouie dans le cerveau de tous les hommes.


Cinéma expérimental

Mercredi 16 novembre à 18h30 / En parallèle à l’exposition My Last Life présentée à l’Espace Khiasma, Normal (association pilotée par Vincent Meessen, Bruxelles) propose un cycle de projections de films d’artistes contemporains internationaux. En rassemblant des œuvres récentes et souvent inédites en France, Hantologie des colonies ouvre une réflexion sur la façon dont le « fait colonial » continue à faire événement et retour dans le présent. Films de Brigitta Kuster & Moise Merlin Mabouna, Patrizio Di Massimo, Uriel Orlow, Penny Siopis. Séance présentée par Laetitia Kugler qui enseigne l’esthétique du cinéma à Paris  III. En collabration avec Khiasma.

Mercredi 30 novembre à 18h / Projection du film In Girum imus nocte et consuimur igni, 1978, de Guy Debord, présenté par Fabien Danesi, qui publie Le cinéma de Guy Debord ou la négativité à l’œuvre (1952-1994), aux éditions Paris Expérimental.

Mercredi 4 janvier à 17h / Projection intégrale des quatre saisons du film Koyamaru, Automne Hiver et Koyamaru, Printemps Eté, 2007-2010, 88’ et 84’, réalisé par Jean-Michel Alberola, en sa présence. « Koyamaru est un film politique : je parle du paysan universel, du cinématographe, et tout ça au milieu de la mondialisation et de la virtualisation des images ».

Mardi 17 janvier à 17h / Projection du film <... – HISTOIRE(S) DU PRÉSENT – ...> (documentation d’une expérience), Alejandra Riera, 2007–2011, 110’, « expérience d’invention poétique commune » menée au Brésil avec le groupe UEINZZ, composé de personnes en souffrance psychique, de thérapeutes, performeurs et philosophes. En collaboration avec Thomas Bauer, Judith Abensour, l’Epcc Talm et le Festival Premiers plans d’Angers. 

Le cinéma réinventé, cycle proposé par Braquage / Mercredi 2 novembre à 17h / Jennifer Verraes, enseignante à l’Université Paris III. « Cela s’appelle l’aurore », hypothèse(s) sur l’histoire du cinéma selon Jean-Luc Godard, projection de moments choisis des Histoires du cinéma (2004, 85’) de Jean-Luc Godard. 

Mardi 6 décembre à 17h / Malcolm Le Grice, professeur et directeur de recherche au Saint Martins College of Art and Design à Londres, membre fondateur de la London Film-maker’s Cooperative et cinéaste moderniste. Présentation de ses films, en écho à son exposition à l’espace Gantner à Boulogne et à son invitation au festival Entrevues à Belfort.

Mardi 7 février à 17h / Pip Chodorov, projection du film Free Radicals: A History of experimental film, 2010, 90’. Quelle place accorde-t-on au cinéma expérimental ? Il est souvent relégué dans un no man’s land, exclu du marché de l’art et ignoré de celui du cinéma commercial.


Cinéma documentaire

Mercredi 5 octobre à 18h / Projection du film Subarnarekha, 1962, 139’, de Ritwik Ghatak, en présence de Charles Tesson, critique et Sandra Alvarez de Toledo à l’occasion de la sortie du livre Ritwik Ghatak, des films du Bengale. Ritwik Ghatak (1925-1976) est avec Satyajit Ray et Mrinal Sen l’un des plus grands cinéastes indiens. Également homme de théâtre, écrivain, musicologue, il est considéré comme un génie du son et l’un des réinventeurs du mélodrame. Subarnarekha fait partie des trois films de Ghatak réalisés à propos de la partition du Bengale (1947) qui hante une grande partie de son œuvre.

Mardi 11 octobre à 19h / Rencontre avec Naomi Kawase et projection du film Dans le silence du monde, 2001, 50’. Née en 1969, diplômée de l’École de Photographie d’Osaka, elle développe depuis 1992 une importante œuvre documentaire, très autobiographique, elle a été plusieurs fois sélectionnée à Cannes depuis la Caméra d’Or, remportée en 1997 pour Suzaku. En collaboration avec Périphérie.

Mercredi 9 novembre à 18h / Projection du film Frantz Fanon. Peau noire, masque blanc, Isaac Julien, 1996, 70’, présenté par Mathieu K. Abonnenc, portrait complexe du psychiatre et révolutionnaire Frantz Fanon, à l’occasion de l’anniversaire de sa mort en novembre 1961.

Mercredi 7 Décembre à 18h / Projection du film Il était une fois André S. Labarthe, d’Estelle Fredet, 2009, 94’, présenté par Cyril Neyrat, en présence de la réalisatrice et d’André S. Labarthe. À l’occasion de l’exposition Reposer/regarder, sculptures et dessins de Vincent Barré, au Musée d’art moderne André Malraux du Havre. André S. Labarthe est cinéaste, essayiste, fondateur avec Janine Bazin de la série télévisée Cinéastes de notre temps. 

Mercredi 23 novembre à 18h / Projection du film Fragments d’une révolution, anonyme, 2011, 57’, Iran, 12 juin 2009, dénonçant une fraude massive aux élections présidentielles des centaines de milliers d’Iraniens descendent dans la rue. Présenté par Raphaël Pillosio, producteur.

Mercredi 11 janvier à 18h / Rencontre avec Agnès Varda, projection d’un film de son choix.

Mercredi 25 janvier à 17h / Projection de Tahrir, Stefano Savona, 2011, 90’ Le Caire, février 2011. Tahrir est un film écrit par les visages, les mains, les voix de ceux qui ont vécu ces journées sur la place Tahrir. C’est une chronique au jour le jour de la révolution, aux côtés de ses protagonistes.


Spectacle électronique

Mardi 25 octobre à 17h / Rencontre avec Michel Jaffrennou, auteur réalisateur vidéo et multimédia, présentation du workshop Spatialisation, organisé à l’École en novembre, sur une proposition de Patrice Alexandre et Vincent Rioux, enseignants. Après avoir exposé en tant que peintre et sculpteur, il crée des scénographies et des performances dans les galeries et musées. À partir de 1978, il se consacre à la création vidéo et développe avec les nouvelles technologies une nouvelle forme de spectacle électronique où acteurs réels et acteurs électroniques jouent ensemble sur une même scène.


Espace et lieu –

Flux d’énergies et action dynamique

Comment est fait l´espace dans l´art contemporain ? par Doris von Drathen, critique et professeur de l´histoire de l´art. Ce cycle de conférences propose d´étudier, en prenant les paramètres de l´espace, ses énergies et sa présence comme le point de comparaison pour un choix d´artistes. L´espace est une action dynamique dans le temps [Aktionszeit]. On découvrira un système énergétique créant des évènements, un continuum générant des séries de débuts et ressemblant en cela au temps qui se produit et se renouvelle en chaque moment. L’exemple des travaux d’une quinzaine d´artistes démontreront que les lois de la physique sont intrinsèques à l´art, et que l´espace en tant que flux d’énergies est un défi inépuisable pour ceux qui se voient en relation avec le cosmos entier.
Vendredi 20 janvier à 15h / Les énergies électromagnétiques et gravitationnelles (Walter de Maria, Rebecca Horn, Pat Steir, Paul Wallach, Mona Hatoum).
Vendredi 27 janvier à 15h / Les forces spatiales de la parole (Ann Hamilton, Jaume Plensa, Kim Sooja, Jannis Kounellis). 
Vendredi 3 février à 15h / Constructions immatérielles (Max Neuhaus, Rebecca Horn, Giuseppe Penone, Anthony McCall).
Vendredi 10 février à 15h / Les dômes de notre intérieur (Anish Kapoor, Marina Abramovic).


Points de vue – images de la danse
(ou tabula rasa avec éléments de reconstruction)

Quatre séances en paroles et en images proposent des clés pour percevoir un art au-delà des malentendus ou des clichés, par Denise Luccioni. Longtemps acteur des arts vivants de son temps, elle se consacre depuis une dizaine d’années à la traduction et à l’écriture, et plutôt sur des thèmes liés à la danse et à un théâtre visuel alternatif. Elle donne entre autres des « causeries » illustrées sur Merce Cunningham, Trisha Brown, Steve Paxton, Anna Halprin et ce qu’on continue d’appeler la postmodern dance. Après quelques bases historiques, les facteurs influant sur la danse, c’est-à-dire les cadres, codes, préjugés, formalismes-physiques, sociaux, culturels, politiques, ethno-géographiques seront évoqués, ainsi que les éléments fondamentaux de la danse, les processus créatifs (écriture et composition, connaissance du corps, improvisation), l’écriture et la composition.
Mercredi 12 octobre à 15h / Introduction - tabula rasa, et Une heure avec Robyn Orlin, danseuse puis chorégraphe, ses thèmes de prédilection ont directement à voir avec les drames qui ont parcouru et continuent de traverser son pays l’Afrique du sud (apartheid, sida) à l’occasion de la création du spectacle sur le thème de la Vénus Hottentote.
Mercredi 19 octobre à 15h / Du corps au mouvement 
Mercredi 26 octobre à 15h / Du mouvement à l’écriture et au spectacle 
Mercredi 9 novembre à 15h / Conclusion, quelques éléments de reconstruction.


Vie professionnelle

Lundi 17 octobre à 15h, amphi du mûrier / Maison des artistes, présentation par Nathalie Meindre, responsable du siège social, Charlotte Delsol, assistante administrative.

Lundi 14 novembre à 15h / Martine Aboucaya, galeriste.

Lundi 12 décembre à 15h / Jocelyn Wolff, galeriste.

Création et gestion des activités artistiques par Bruno Ughetto, conseiller en gestion et en management d’activités artistiques. L’objectif de ces conférences est d’introduire la notion de gestion économique des activités artistiques créées et développées par les artistes contemporains.
Lundi 16 janvier à 15h, amphi du mûrier / Présentation des formalités de création de début d’activité artistique (Maison des artistes, centre des impôts). Les erreurs à éviter et quelques conseils en matière fiscale. L’exercice en commun d’activités artistiques : les pièges, les bonnes pratiques.
Lundi 23 janvier à 15h, amphi du mûrier / La gestion des activités artistiques : Comment évaluer ses revenus, définir ses objectifs et prévoir ses revenus, faire traiter sa comptabilité, développer son activité économique sans perdre son statut social à la maison des artistes, bien gérer les budgets de production ?

Mardi 14 février à 17h / Corinne Castel, productrice des films de Maïder Fortuné, Virgil Vernier, Mati Diop, Mohamed Bourouissa.


Psychanalyse, art et image IV

Depuis plus d’un siècle, l’art et la psychanalyse ont entretenu des relations étroites pour le meilleur mais parfois aussi pour le pire. Nul projet didactique, mais, plutôt, celui de moments de rencontres autour de questions qu’on voudrait reprendre au vif de leur émergence : comment lire les images avec la psychanalyse, elle qui ne se pratique qu’en parole ? Qu’est-ce qu’une image ? Qu’est-ce que le regard et que regarde-t-on (statut du spectateur et de l’image, présentation de l’image et représentation, etc.) ? Comment le psychanalyste est-il enseigné par l’artiste qui a accès à des sources qui nous sont « ordinairement fermées » ? Qu’est-ce que l’acte créateur (histoire singulière et acte créateur, etc.) ? Qu’est-ce qu’un artiste peut attendre de la psychanalyse ?

Ce cycle de conférences est préparé par Alain Vanier, professeur des universités, directeur du Centre de recherches Psychanalyse Médecine et Société de l’Université Paris Diderot–Paris 7. Amphi du mûrier à 18 h,
Lundi 7 novembre / Corps et graphies : subjectivation dans les soulèvements arabes. 2001-2011, par Fethi Benslama, psychanalyste.
Lundi 5 décembre / L’art contemporain ? Jacques Adam
Lundi 9 janvier / Michel François, artiste, enseignant aux Beaux-arts avec Alain Vanier 
Lundi 6 février / Constructions de la mémoire du désastre dans l’art contemporain. Vainqueurs et vaincus, victimes et bourreaux par Laurence Sigal, conservateur du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme. 
Lundi 7 mars / Pour conclure : L’acte et l’image par Alain Vanier.


Échanges

Jeudi 15 décembre à 15h / Rencontre avec Olivia Brunet et Marie-Anna Delgado, atelier Tadashi Kawamata, Rio / Adélaïde François, atelier Dominique Gauthier, Bruxelles / Hélène Garcia, atelier Tadashi Kawamata, Londres / Jean-Baptiste Lenglet, atelier Emmanuel Saulnier, San Francisco / Vincent Lhuillier, atelier Patrick Tosani, Séoul / Augustin Steyer, atelier James Rielly, New York / animée par Nathalie Giraudeau, directrice du Centre pour la Photographie d’Île-de-France. Chaque année, le CPIF accueille trois artistes en résidence pour la postproduction d’une œuvre.


Conférence

Jeudi 17 novembre à 15h / Les couleurs et les villes par Larissa Noury, architecte et artiste, sur une proposition de Philippe Bennequin. Dans les décennies d’après-guerre, la couleur semblait avoir déserté la ville. Aujourd’hui, elle retrouve pleinement son droit de cité et investit aussi bien les immeubles de logement que les bureaux, les équipements, et même les infrastructures de transport. Les architectes la considèrent comme indispensable à la compréhension de l’espace urbain et à la qualité de vie des habitants, car susceptible d’enrichir l’environnement en lui apportant lisibilité, rythme et perspective.



Contacts Jany Lauga, responsable de la programmation, t. 01 47 03 54 58, jany.lauga@beauxartsparis.fr  ; assistée de Martine Markovits pour la programmation vidéo, t. 01 47 03 50 45, martine.markovits@beauxartsparis.fr  / Tanguy Grard, responsable du service communication, mécénat et partenariats, t. 01 47 03 50 05, tanguy.grard@beauxartsparis.fr Contact presse Isabelle Reyé, t.01 47 03 54 25, isabelle.reye@beauxartsparis.fr.  Ce programme indicatif et non exhaustif, qui tient lieu d’invitation et qui peut vous être demandé à l’entrée de l’École, est susceptible de modifications. Consultez le site mis à jour quotidiennement www.beauxartsparis.fr . Entrée libre, dans la limite des places disponibles, dans la Salle de conférences, l’amphi 1 des Loges, l’amphithéâtre d’honneur, l’amphithéâtre de morphologie, l’amphithéâtre du mûrier, la Chapelle, 14, rue Bonaparte 75006 Paris.


Vous pouvez retrouver le programme complet sur www.ensba.fr

PhM

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N
I am glad to read the article shared here titled Koronin preparation: Review communication ENSBA as this is a rare and informative page. The communication and information sharing is the basic mode of data transfer and it should be clear and checked.
Répondre
F
<br /> <br /> Tiens tiens... vous essayez de faire votre com sur le dos de l'ensba ?<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
K
<br /> <br /> Si l’on considère que notre prépa Koronin rapporte au plus grand nombre de lecteurs<br /> publics les infos que l’ensba lui transmet, alors oui.<br /> <br /> <br /> PhM<br /> <br /> <br /> <br />